Minuit à Paris, Woddy love Pariss very much...
Minuit à Paris, où l'art Pour Woody Allen de se réinventer tout en faisant à chaque fois le même film..
En effet, on retrouve dans ce film tout ce qui fait le sel de la grande maljorité des films du réalisateur new yorkais, que ce soit la façon de parler des comédiens, ce mélange entre discussions profondes et métaphyisques sur le couple, l'intelligence, ces personnages jamais totalement satisfait de leur vie et qui rêve forcément d'un ailleurs- goégraphique ( et ici statio temporel), sans oublier aussi cette musique de Jazz, ici Cole Porter qui se marie si bien avec les états d'ame de ces personnages.
On pouvait effectivement craindre, notamment à la vision de la bande annonce, une vision de Paris très carte postale, et à ce sujet, le début du film agrémente cette apréhension, mais très vite, et surtout grace à cette superbe trouvaille de "voiture à remonter le temps" , le film ne cessera de nous enchanter, tout en abordant les thèmes chers à l'auteur et à tous ses afficionados.
Quant à l'apparition de Carla qui avait tant fait le "Buzz ", plusieurs mois avant sa sortie, ca ressemble quand même à des coups d'epée dans l'eau : impossible de se prononcer sur sa performance d'actrice tant son personnage n'apporte rien au film et semble clairement là pour lui offrir un petit rôle, mais le plus plat possible.
Par rapport à ces prédentes oeuvres, et notamment la toute dernière, le film est moins pessimiste, le fond y est plus léger, et du coup le film sera peut etre moins mémorable dans les esprits, mais sur le coup, il fait l'effet d'une parenthèse assez euphorisante.