Dujardin pas infidèle à ma sélection ciné
Une fois n'est pas coutume, j'écris ce billet des sorties en salles bien avant le mercredi en question, pour la simple raison que normalement, lundi, soit l'avant veille de sa sortie en salles, je suis allé voir Les Infidèles, le film à sketches initié par la paire Dujardin-Lellouche, et comme je n'aurais pas le temps d'écrire ma chronique avant ce mercredi, je vais vous dire pourquoi j'avais envie de voir ce film, puisque, de toute façon, il aurait fait partie de ma sélection de la semaine que voici :
1. Les infideles
Le pitch : L’infidélité masculine et ses nombreuses variations, vues par 7 réalisateurs.
Pourquoi je veux y aller :
-Les Infidèles est composé de plusieurs petites histoires, autrement dit il s'agit d'un film à sketches. Les précédents films du genre ne sont pas forcément tous des grandes réussites, mais certaines furent vraiment brillantes (New York Stories, Paris je t'aime, les nouveaux Monstres);
-l'humour du film qui lorgne ouvertement vers les comédies italiennes des années 60 à la Dino Risi ou Mario Monicelli: un peu méchante, un peu provocante, en tout cas jamais tiède ni consensuelle;
- le retour du tandem triomphant Dujardin/Hazanvicius, puisque le metteur en scène de The Artist met en scène un des sketches, parait il le meilleur des 7.
Les Infidèles - bande-annonce HD
Le pitch :
En fin de cure de désintoxication, Anders se rend en ville pour une journée, à l’occasion d’un entretien d’embauche. Il en profite pour renouer avec sa famille et ses amis, perdus de vue. Une lutte intérieure s’engage en lui, entre un profond sentiment de gâchis face aux occasions manquées, et l’espoir d’une belle soirée et, peut-être, d’un nouveau départ…
Pourquoi je veux y aller :
- librement inspiré d'un roman de l'écrivain français Pierre Drieu La Rochelle, Le Feu Follet (1931, Louis Malle en avait aussi tiré une version en 1963), le film semble être un drame social noir et terriblement humain;
- son excellente réputation glanée dans les nombreux festivaliers, en compétition officielle au Festival de Cannes 2011, dans la catégorie "Un certain regard primé à Angers festival premier plan
- car le cinéma norvégien donne rarerement de ses nouvelles en France, et celle ci semble en être une très bonne.
3. extremement fort et incroyablement près
Le pitch:
Oskar Schell, 11 ans, est un jeune New-Yorkais à l'imagination débordante. Un an après la mort de son père dans les attentats du World Trade Center, le "jour le plus noir", selon l'adolescent, il découvre une clé dans les affaires du défunt. Déterminé à maintenir un lien avec l'homme qui lui a appris à surmonter ses plus grandes angoisses, il se met en tête de trouver la serrure qui correspond à la mystérieuse clé
Pourquoi je veux y aller :
- parce que le livre est adapté d'un roman de Jonathan Safran Foer,roman que je n'ai pas lu,mais qui est précédé d'une trés belle réputation;
- parce que Stephen Daldry, le réalisateur du film s'est spécialisé dans les drames holywoodiens émouvantset à forte ampleur, (The Hours, The Reader), et que celui ci ne semble pas déroger à la régle;
- parce qu'on attend encore le grand film sur le 11 septembre, les précédentes tentatives étant peu glorieuses pour le moment (World Trade Center d'Olivier Stone, bouhh).
EXTRÊMEMENT FORT ET INCROYABLEMENT PRÈS : BANDE-ANNONCE VOST Full HD
Voilà ma sélection, assez hétéroclite, de la semaine, entre films populaires et d'autres plus confidentiels, et issus de trois pays différents. Et vous, alors, quels films de la semaine vous tente le plus?