Il n'y pas de raison pour que je ne fasse pas comme tout le monde et que je me mette pas à parler de fin du monde selon les Maya programmé évidemment pour ce 21 décembre.
Et.d'ailleurs les exploitants ciné s'y mettent aussi en programmant ce même vendredi, le film Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare qui était sorti dans la plus totale indifférence en aout ...Pas sûr que cela change grand chose à la qualité du film, mais bon, toutes les idées des distributeurs ne sont pas forcément super ingénieuses, ca se saurait sinon :o)
Et ce mercredi, un autre film sur la fin du monde apparait et je l'ai intégré aussi dans ma sélection, mais seulement car il est le fruit d'un grand cinéaste..
1. 4h 44 dernier jour sur terre
New York. Cisco et Skye s'apprêtent à passer leur dernier après-midi ensemble. C'est l'heure des adieux, l'occasion d'une ultime étreinte. Comme la majorité des hommes et des femmes, ils ont accepté leur destin. Demain, à 4h44, le monde disparaîtra.
Pourquoi je veux y aller :
- parce que comme je l'ai déjà dit dans mon article sur Gogo tales le précédent film de http://www.baz-art.org/archives/2012/11/21/25625814.html grace à des chefs d'oeuvre de films noirs et sombres marqués par la rédemption et la foi (King of New York, Bad Lieutenant, deux grands succès publics, et Nos Funérailles, pour moi son meilleur film), je le considérais comme un des grands maitres du cinéma américain, et j'avoue qu'il faisait partie de ceux dont j'allais voir tous les films, mêmes les mineurs....
: que ce 4h44 dernier jour sur terre, toujours avec Willem Dafoe, sort le 19 décembre prochain, précédé d'une très belle réputation, avant de voir ce que va donner son projet de film sur l'affaire DSK avec Notre Gérard Depardieu national dans le rôle de l'ex patron du FMI
- et parce que cette vision des dernières heures de l’humanité vues de l’intérieur doivent forcément être vues ,et si possible avant le 21 décembre...
Le pitch:
Quand Hélène Marchal et Joachim Fox se rencontrent, ils ont chacun des vies bien différentes. Hélène dirige la prestigieuse école de danse de l’Opéra Garnier, Joachim, lui, est l’employé d’un miroitier de province. Mais une force étrange les unit.
Pourquoi je veux y aller :
- parce qu'évidemment, lorsqu'on dit "Donzelli/ Elkaïm", on pense très fort à la guerre est déclarée, et on se dit que le duo a déjà réalisé un petit miracle cinématographique, et pourquoi pas un second?
- parce qu'avec son nouveau long-métrage Valérie Donzelli recommence son introspection des rapports humains, mais cette fois-ci, dans le registre de la comédie.
Le pitch :