Une sélection ciné loin d'être misérable
Encore une très bonne semaine sur le plan des sorties cinéma ce mercredi juste avant la saint valentin, à tel point que j'ai eu du mal à ne choisir qu'un seul film...
Et, une fois n'est pas coutume, une semaine où j'ai choisi 3 gros films américains et aucun film français..
1. Les misérables :
Le pitch :
Dans la France du 19e siècle, une histoire poignante de rêves brisés, d'amour malheureux, de passion, de sacrifice et de rédemption : l'affirmation intemporelle de la force inépuisable de l'âme humaine.
Pourquoi je veux y aller :
- avant tout parce que j'adore les musicals, et qu'à défaut d'avoir pu voir celui cette adaptation du chef d'oeuvre d'Hugo sur scène, je réserve ma place pour l'adaptation cinématographique de ce musical, n'en déplaise aux grincheux et aux puristes du classique littéraire qui refuse qu'on touche à cette oeuvre;
- parce que Tobe Hoper a réalisé le Discours d'un roi, l'oeuvre historique multioscarisé d'il y a deux ans ( qui m'a pourtant emballé qu'à moitié), et qu'il était un des réalisateurs idoines pour une oeuvre de cette telle démesure qui récolte pas mal de nominations aux prochains Oscars;
- parce que le casting de cette fresque musicale de 2h30 (encore une) est assez démentiel, d'Hugh Jackman à Anne Hattarway en passant par Russel Crowe en Javert et que tout cela pousse à la curiosité.
Le pitch :
Deux femmes se livrent à un jeu de manipulation pervers au sein d'une multinationale. Isabelle est fascinée par sa supérieure, Christine. Cette dernière profite de son ascendant pour l'entraîner dans un jeu de séduction et de manipulation.
Pourquoi je veux y aller :
- parce que De Palma, auteur de plusieurs chefs d'oeuvre( Carrie, ou l'Impasse, mon must), reste encore un grand nom du cinéma mondial et qu'un de ses films reste forcément un évenement;
- car je serais très curieux de voir ce qu'il va faire de ce remake de Passion d'amour, un film un peu mou du genou d'Alain Corneau;-
- parce que le film semble être un thriller baroque et érotique assez fascinant, bref parfaitement le genre de film qui stimule ma curiosité.
Le pitch :
Whip Whitaker, pilote de ligne chevronné, réussit miraculeusement à faire atterrir son avion en catastrophe après un accident en plein ciel… L’enquête qui suit fait naître de nombreuses interrogations… Que s’est-il réellement passé à bord du vol 227 ?
Pourquoi je veux y aller :
- pour la prestation de Denzel Wahinsgton, parait il extraordinaire en héros brisé et rongé par l'alcool, et qui semble bien parti pour décrocher une nouvelle fois la statuette;
- parce que Robert Zemekis revient aux prises de vue réelles pour la premièe fois depuis 1997, et pour ma part je suis heureux de ce retour pour l'auteur de Forrest Gum un peu paumé avec ses images de synthèse;
- parce que le film semble une fresque épique et intime, comme seul Holywood sait en trousser.