Ah vous le savez, j'aime par dessus tout les films traitant du couple et des relations conjuagles, ces films où les gens s'aiment, se quittent se trompent, se marient, ont des aventures et s'embrassent...
Tiens ca tombe bien, tout cela ressemble fortement à trois films qui sortent ce mercredi en salles, et qui du coup figurent dans ma sélection :
1. Le temps de l'aventure
Le pitch :
Une journée. Un train. Deux inconnus. Des échanges de regard, le cœur qui bat.Le regarder partir, le perdre à tout jamais ou s’offrir au temps de l’aventure ? Et si la vie d’Alix basculait…
Pourquoi je veux y aller :
- pour son genre, le film de romance, qui fait partie de mes genres préférés, comme je l'ai déjà dit tant de fois;
- pour l'identité du réalisateur, Jérome Bonnel, dont j'avais déjà aimé plusieurs de ses précédentes oeuvres de J'attends quelqu'un au Chignon D'Olga, son tout premier film en 2001;
- et enfin, pour son casting tant j'ai toujours aimé les choix de carrière d'Emmanuelle Devos, l'actrice fétiche de Desplechin, et que Gabriel Byrne pour qui je suis en totale admiration depuis son rôle du psychotérapeute Paul Weston dans l'extraordinaire série d'HBO En Analyse (dont je n'ai d'ailleurs jamais parlé sur mon blog, malheureusement).
Le pitch :
Depuis qu'ils se sont rencontrés dans une soirée, Nat, jeune femme ambitieuse, et Josh, apprenti romancier, nagent dans le bonheur, malgré leurs différences. Car si Josh est plutôt du genre intellectuel, Nat est une fonceuse. Ce qui ne les a pas empêchés d'être réunis par un coup de foudre réciproque. Leur mariage est idyllique, même si personne – de leurs proches à leurs amis, jusqu'au pasteur qui officie – ne croit qu'il pourra durer... Surtout quand l'ex-petite amie de Josh, Chloe, et le charmant client américain de Nat, Guy, s'en mêlent..
Pourquoi je veux y aller :
- parce qu'avec le retour du soleil, comme ma petite création le signale, on a envie de films plus légers et plus solaires que les drames des semaines passées;
- car ce film semble sonner le retour en force des comédies anglaises, celles des pépites du genre, de Love Actually au Le Journal de Bridget Jones, dont le le film semble fortement s'en inspirer;
- parce que le metteur en scène du film, Dan Mazer, dont c'est ici le premier long métrage, est principalement connu pour son investissement dans l'équipe créative et scénaristique des films de Sacha Baron Cohen, ce qui laisse promettre une comédie hors des sentiers battus.
- parce que même si ce n'est pas une immense formaliste, j'aime bien les films de la réalisatrice Danièle Thompson , habituée des films choraux dans lesquels les personnages s'entrecroisent pour le meilleur et pour le pire, film choral, dont ses meilleures illustrations sont La Bûche &, Fauteuils d'orchestre.
- parce que le film semble suivre la destinée des juifs askénaze (Juifs originaires d'Europe centrale), avec ce que cela implique d'auto-dérision et d'humour bien senti, à la Woody Allen;