Baz'art  : Des films, des livres...
13 juin 2013

Que sont devenus les enfants stars du cinéma?? ( mon entretien exclusif avec François Guillaume Lorrain)

les enfants du cinémaLors de ma récente chronique du film Le passé, j'ai  écrit, au fil d'un paragraphe, tout le bien que je pensais des jeunes acteurs du film, d'un naturel et d'une justesse de jeu tels qu'on en avait pas vu depuis longtemps.

Visiblement, je ne suis pas le seul à le penser, car figurez vous que samedi soir dernier, j'ai eu une longue conversation téléphonique avec François-Guillaume Lorrain qui, lui aussi, avait bien remarqué le talent d'Asghar Farhadi pour trouver et diriger des acteurs enfants comme nul autre pareil, ce qui n'est plus tellement fréquent dans le cinéma d'aujourd'hui.

Et François Guillaume Lorrain est un peu le spécialiste de la question, pusqu'il a écrit un livre consacré aux enfants stars du cinéma, à ces enfants qui ont marqué de leur empreinte l'histoire du cinéma français par un rôle phare qui les a placé, pour un temps déterminé, sous le feu des projecteurs.

Un livre, intitulé tout bonnement Les Enfants du cinéma, sorti une première fois en 2011 en grand format et qui vient tout juste d'être publié au Livre de Poche. Et un livre qui m'a tant passionné que j'ai tenu et réussi (grâce à Elodie, du Livre de Poche que je tenais à remercier chaleureusement)  à interroger l'auteur, non pas par mail comme je le fais de temps en temps, mais carrément par téléphone, ce qui m'a certes donné un peu plus de travail pour la restranscription, mais qui a donné à la rencontre un incontestable aspect plus convivial et interactif qu'un simple contact virtuel. 

L'ouvrage de François-Guillaume Lorrain, journaliste de cinéma au Point et également romancier (auteur du récent Homme de Lyon, roman qui est précédé d'échos très favorables et qu' il tarde de découvrir au lyonnais que je suis) se propose en effet de partir à la rencontre de tous ces petits prodiges du 7ème art que nous avons tant aimé dans un grand film et qui ont tous peu ou prou disparu dans l'anonymat le plus complet : la Zazie de Louis Malle, les garnements de La Guerre des boutons (ceux d'Ybes Robert évidemment), l'enfant sauvage de Truffaut, l'héroïne de Diabolo menthe,  le petit héros si touchant de Crin Blanc ... 

François-Guillaume Lorrain a retrouvé une vingtaine de ces étoiles filantes. Il en reconstitue le parcours avec précision, justesse et un regard qui évite tout voyeurisme (on imagine sans peine le genre de traitement qu'une émission de TV aurait pu faaire sur un même sujet) et tout jugement de valeur.

Leur parcours n'est pas linéaire, évidemment, vu que ces stars d'un jour sont très vite retournés à l'anonymat, alors que d'autres  (Sophie Marceau, Charlotte Gainsbourg, Jean Pierre Léaud) ont continué à crever le grand écran.

C'est tout le mérite de François-Guillaume Lorrain d'être parti sur les traces  de ces enfants stars qui ont quitté l'affiche, et de nous raconter les résultats de son enquête, parfois follement romanesque et/ou douloureuse.

On apprend ainsi beaucoup de choses sur ces anciennes gloires, d'abord sur le film qui les a révélés,  avec pas mal d'anecdotes sur les coulisses d'un tournage, mais aussi sur leur façon d'appréhender cette célébrité si  intense et en même temps si versatile.

L'auteur tente ainsi de sonder ce retour, plus ou moins choisi, de l'autre coté de la lumière et de la célébrité, ce retour à la normalité plus ou moins vécu.

Les enfants du cinéma est un livre passionnant sur ce magnifique miroir aux alouettes que constitue le cinéma et aussi une belle réflexion, entre nostalgie et optimisme (ces ex stars rencontrés n'ont finalement conservé  que  bien peu de rancune et d'aigreur contre le milieu du cinéma, contrairement à ce qu'on aurait pu penser, mais l'auteur nous expliquera pourquoi dans l'itw ci dessous).

Et puis, et surtout, comme me l'a dit l'auteur lorsque je l'ai interrogé, le projet du livre est de se concentrer  sur le temps qui passe,  ce temps à la fois "assassin en ce qu'il abime les visages et les souvenirs, et en même temps, ce temps qui immortalise  à jamais", grâce à la pellicule et à la magie du cinéma.

  Pour construire  ces récits au tissu souvent diablement romanesque, l'auteur est parfois allé loin dans l'investigation : il a  épluché pas mal de pages jaunes en ligne, est allé frapper à la porte des directeurs de castings ou  les seconds assistants, ce qui ne fut pas une mince affaire sur certains films des années 50 où tout le monde ou presque a disparu.

Bref, un livre très documenté, parfois haletant, et toujours captivant, à l'image de l'homme avec qui j'ai pu dialoguer une petite heure samedi soir.

Et pour vous finir de vous donner envie de le lire, je vous dévoile une bonne partie de cette discussion téléphonique, dans laquelle il n'a pas été avare en confidences, notamment sur les motivations qui l'ont poussées à rédiger ce livre.

Comme je ne possédais pas d'enregistreur (ouh, l'amateur!),c'est uniquement de mémoire, et aidé quand même de quelques notes griffonés sur des feuilles volantes d'une main, tout en tenant le combiné de l'autre, que je vous la retranscris, mais je pense (j'espère?) avoir conservé les grandes lignes et l'esprit de ses propos.

Entretien exclusive avec François Guillaume Lorrain,

auteur du livre Les enfants du cinéma :

 

Blog Baz art :  D’où vient au départ  cette fascination pour ces étoiles filantes du  7ème art ? Est-ce que cela provient d’une curiosité particulière à l'égard de  leurs  parcours et des raisons de leurs retours à l’anonymat ou bien, du désir plus général de raconter la grande difficulté à durer dans ce milieu si particulier ?

FGL : Je suis parti d'un vieux film italien de Vittorio de Sica "Le Voleur de Bicyclette", et j'ai voulu retrouver les traces du petit Bruno, l'enfant de 10 ans  qui était d'une présence phénoménale. Je l'ai rencontré  et si le portrait- récit que j'ai élaboré suite à cette rencontre n'a  pas abouti,  cela m'a donné envie d'aller à la rencontre d'autres enfants qui avaient marqué l'histoire du cinéma.  Le livre s'inscrivait alors dans un projet plus international, et puis, de fil en aiguille, j'ai commencé à m'intéresser plus longuement à certains films français, et me suis ensuite plus  focalisé sur les acteurs français.

J'ai eu envie de savoir comment ces enfants avaient pu ressentir le décalage qui existait entre cette image qu'on leur a collé, un peu comme un chewing-gum impossible à enlever, et ce qu'ils étaient en réalité. Je souhaitais vérifier si, après de longues années, ils avaient réussi, ou non, à digérer ce décalage. Au fond, c’est un film sur le temps qui passe et le combat, perdu d’avance, d’un individu qui vieillit, contre un film trop mémorable, qui les a immortalisés.

Les acteurs adultes, leur vie est désossée, exposée, les enfants acteurs, on ne sait rien d’eux sinon leur rôle, qui les a écrasés. Qui étaient-ils, que ressentaient-ils ? On ne leur a pas donné la parole. Je voulais leur regard, leurs souvenirs sur ce grand soleil noir qui a presque toujours bouleversé le cours de leur existence.

Plus personnellement, ces enfants ont connu une enfance terriblement différente de la mienne sur bien des points, une enfance où  notamment tout leur était permis, où ils étaient exposés en pleine gloire. Je voulais savoir comment ils avaient réussi à passer de cette lumière à l’ombre, à l’oubli, pourquoi aussi l’essai, la plupart du temps (même si je suis allé voir Brigitte Fossey, Charlotte Gainsbourg, Jean-Pierre Léaud), n’avait pas été transformé.

2. Comment avez-vous ciblé les enfants qui feraient l’objet d’un portrait dans votre livre ? Par rapport à vous goûts personnels ou par rapport à la qualité du film et du rôle qui les a révélés ?

FGL :  J'ai tenu à choisir des films et des rôles emblématiques du cinéma, des films reconnus, des oeuvres incontestables du 7ème art, qui avaient pour personnage central un enfant ayant marqué l'imaginaire de plusieurs générations. Comment vit-on dans la tête des gens, qui vous ont épinglé à jamais, alors que vous continuez d’avoir votre propre vie, vous vieillissez, vous n’êtes plus du tout ce que les autres ont aimé ?

Je voulais des enfants qui ont connu une  notoriété fulgurante, souvent sans lendemain. Je tenais  à choisir des films qui avaient marqué toutes les décennies des années 50 aux années 80, et ces films, qui sont finalement peu nombreux, se sont imposés d’eux-mêmes.

Je cherchais aussi des relations particulières entre l'enfant et un cinéaste, ainsi que des histoires vraiment distinctes les unes des autres pour ne pas tomber dans l’ornière de la répétition. Chaque récit de vie devait raconter dans l’idéal une histoire différente.

Je pense que mon livre est assez représentatif d'une époque où les enfants étaient beaucoup plus laissés dans la nature, sans repère, "grillés" aussi vite qu’ils s’étaient retrouvés en pleine lumière, sans souci pour les conséquences  sur leurs vies futures. La France, à la différence des Etats-Unis, a traité artisanalement ses enfants, leur protection – la présence de la DDASS, le compte bloqué - est arrivée tard, fortuitement, grâce à la directrice de l’Ecole des Enfants du Spectacle dont le mari était huissier au Sénat, où elle a fait du lobbying.

 3. Combien de temps a pris la constitution  et l'écriture de ce livre ?

FGL : Le livre a mis quelques années à se mettre en place. J'ai commencé à l'élaborer en 2007, la fleur au fusil, prêt à remuer ciel et terre pour retrouver ces enfants, ce que j'ai fait pour les héros de Diabolo menthe, de la Guerre des Boutons, des 400 coups et de l’Enfant sauvage notamment. J’allais voir aussi le maximum de gens qui avaient participé au tournage, pour croiser les regards, je racontais aussi l’histoire de ce tournage, je faisais certainement un peu volontairement traîner les choses, afin de créer le tissu romanesque que je recherchais pour la forme de ce livre, composés autant de vrais récits que de simples portraits.

Puis j'ai mis de côté ce projet pour me lancer dans l'écriture de mon roman l'Homme de Lyon, une enquête où il était aussi question, comme par hasard, de la recherche, plus personnelle, plus familiale, d’un enfant, pendant la guerre. Au fond, c’était un peu le même livre, décliné autrement.

Je suis revenu à cet ouvrage deux ans après, avec une démarche un peu différente, car pressé par le temps et par mon éditeur ( Grasset) qui tenait à ce que le livre sorte en même temps que les deux remakes de la Guerre des Boutons, il m'a fallu le finaliser  plus rapidement que prévu.

4. Comment en général se sont passées ces rencontres ? Comment ces ex acteurs que vous avez rencontrés vous ont ils perçus?

 FGL : Les rencontres se sont globalement bien passées, il y a eu des hasards heureux, des coups de pouce du destin, j'ai souvent contacté par mail les personnes que je voulais rencontrer, et pour certaines, j'ai tenu à leur envoyer des portraits déjà écrits, afin qu'ils comprennent bien l'esprit de mon livre. Certaines personnes m’ont demandé de conserver leur anonymat, comme la Zazie de Zazie dans le Métro, qui veut avoir la paix.

En général, ils appréciaient le fait que je n'occulte pas du tout la seconde partie de leur vie, celle qui s'est déroulée après leur expérience cinématographique, car très souvent, on les interrogeait sur telle ou telle anecdote liée au film, à leurs débuts, mais plus du tout sur leur vie après.

Il fallait que je les rassure, qu’ils soient certains que je n'aurais pas un regard voyeuriste ou larmoyant sur leur destinée.

Je pense également, car la plupart me l'ont dit, que je suis arrivé au bon moment dans leur vie, à une période où il se sont reconstruits. Ils étaient en mesure d'avoir le recul nécessaire pour restituer leur propre expérience avec objectivité, sans l'aigreur ni la rancune qui auraient pu être la leur quelques décennies auparavant.

5.Quelle est la rencontre/retrouvaille qui a vous le plus marqué , et ce,  pour quelles raisons ?

 FGL : Evidemment, toutes ces histoires m'ont touché, forcément, mais si je ne pouvais n'en retenir qu'une seule, je dirais peut-être celle avec Michaël, le fils de Charlie Chaplin (NDLR : la seule exception internationale, à ce livre  mais qui s'est exprimé en français). C'était une rencontre totalement fortuite à la base (je narre longuement dans le livre les conditions de cette rencontre) et  il m'a raconté avec vraie franchise sa  destinée si particulière, un fils rebelle qui n'aura connu l'intimité avec son père que pendant les tournages. La relation avec son père fut ensuite très conflictuelle, il fut renié, provoqua un scandale immense, écrivit à 19 ans un livre à charge contre son père, avant de retrouver longtemps après, une relation pacifiée qui lui permettra à la mort de Chaplin d'assurer son héritage. Une trajectoire étonnante ! 

Et puis aussi peut-être, chez les acteurs français, j'aimerais souligner ma rencontre avec André Treton, le Lebrac de la guerre des Boutons,  qui a su rester fidèle à l'image de son personnage de fier-à-bras laissée par le film, comme si le temps n’avait pas passé sur lui.  Il avait un tel langage, un tel bagout, que j’ai décidé, pour tous les enfants de la Guerre des Boutons, de m’effacer et de leur laisser la parole, en verbatim.

 6. Est-ce qu’il y a d’autres enfants que vous auriez aimé faire figurer dans ce livre et qu’il n’a pas été possible  de faire, pour plusieurs raisons ?

 FGL : Oui, j'aurais beaucoup aimé parler des enfants dirigés par Jacques Doillon, considéré par beaucoup comme un des grands cinéastes de l'enfance, avec Truffaut et Malle, et notamment de la petite Ponette (NDLR : la petite Victoire Thivisol, récompensée à 4 ans de la Coupe Volpi pour la meilleure interprétation féminine à la Mostra de Venise en 1996,)  qui a maintenant 22 ans, mais finalement cela n'a pu se faire pour diverses raisons. J’ai introduit Doillon dans le livre, grâce à une longue interview avec Dominique Besnehard, le pionnier du casting, qui a beaucoup travaillé avec ce cinéaste. Mais dans l'ensemble, je suis vraiment heureux de tous ceux qui y figurent.

7.La plupart des enfants présents dans ce livre ont été dénichés par le biais de casting sauvage.  Regrettez vous  que ce type de casting n’existe plus ou très peu et pensez vous que cela influe sur la personnalité du jeune acteur et de son jeu ?

 FGL : Oui, forcément, je dirais que, désormais,  à cause de la prolifération d'agence en tous genres autour du cinéma, on aboutit  forcément à  des recherches plus stéréotypées, qui laissent moins la place au hasard, à la magie d’une rencontre fortuite. Je pense en particulier au casting de l’Enfant Sauvage, mené par Jean-François Stévenin et Suzanne Schiffmann, parmi des milliers de gitans lors du pèlerinage de Sainte-Marie de la Mer : certains castings étaient en soi déjà des films. Cette professionnalisation à outrance du système a commencé aux USA dès les années 60, et le cinéma français s'y  est mis également .

Par ailleurs, l'autre gros problème du jeu des enfants dans le cinéma d'aujourd'hui réside dans le fait que la caméra est devenue très familière ; n'importe quel enfant a l'habitude d'être filmé avec tout et  n'importe quoi, on assiste à la disparition de l'innocence dans le jeu de ces acteurs. La fameuse grâce de la première fois, ce mélange de virginité, d'émotion et d'appréhension que l'on retrouvait dans le jeu des acteurs du cinéma d'avant ; s'est à mon sens totalement envolée.

Heureusement, de temps en temps, on voit apparaître  quand même quelques enfants qui démontrent le contraire, comme par exemple Céline Sciamma avec Zoé Héran dans Tomboy ( NDLR un film que j'avais chroniqué ici même)   ou  plus récemment les jeunes acteurs du Passé d'Asghar Farhadi.

8. J’ai appris que vous aviez la volonté de continuer à suivre la route des enfants ex stars du cinéma, mais avec des acteurs étrangers. Où en êtes-vous de ce projet et ressemblerait-il peu ou prou à celui que vous avez mené  pour ces enfants- français du cinéma ?

FGL, Effectivement,  ce projet de livre avec des ex enfants stars étrangères est toujours dans un coin de ma tête, puisque j'ai retrouvé comme je le vous disais au début le petit Bruno du Voleur de bicyclette  une rencontre différente des acteurs français du livre, l'homme renvoyant une image triste et amère) ainsi que les enfants de la Nuit du Chasseur, mais pour le moment il n'y a pas de projet de livre clairement défini. C'est un projet forcément plus onéreux que pour les enfants français, et qui nécessite d'y consacrer un temps que je n'ai pas forcément (je suis en plus de mes activités de journaliste, romancier, directeur d'une maison d'édition liée au Point ). Peut-être que ces histoires, et notamment celles du petit Bruno, trouveront place sous une autre forme, plus fictionnelle, mais pour le moment, je ne saurais vous le dire.

Eh ben  Monsieur Lorrain, vous m'en avez dit suffisamment, et bien plus que ce que j'en attendais..... Voici pratiquement tout ce qui est ressorti de ma passionnante discussion avec le non moins passionnant François-Guillaume Lorrain,  que j'aurais bien écouté toute la soirée tant il fourmillait d'anecdotes et d'un sens du récit évident... Un grand , un énorme merci à vous, François Guillaume et  en espérant que j'aurais su vous convaincre d'aller lire ( pour une fois que je vous parle d'un livre de poche, vous n'avez aucune raison de ne pas l'acheter ) ces si captivants Enfants du cinéma!!!

 

Commentaires
P
Ta chronique m'a donné envie de lire ce livre ! Et félicitations pour ta retranscription parfaite malgré les moyens du bord ;) bonne soirée
Répondre
B
merci beaucoup lalydo...j'ai aimé la faire en tout cas!!!
Répondre
L
Merci pour cette interview très intéressante !
Répondre
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