
Le jour où fut annoncé le nom du film d'ouverture du Festival de Cannes, j'étais à Paris- en train d'interwiever l'immense Françis Huster- et lorsque j'ai vu sur mon smartphone que c'était "La Tête haute "d'Emmanuelle Bercot qui avait été choisi par Frémaux et son équipe pour lancer les hostilités du festival, j'ai aussitot clamé ma joie et ma satisfaction à l'idée que cette année, les films glamours et superficiels ( du pas terrible Gatzby au très mauvais Grâce de Monaco) avaient laissé place à ce qui s'annonçait comme un vrai...
[Lire la suite]