Baz'art  : Des films, des livres...
25 janvier 2018

Interview Cinéma- Rencontre avec Antony Cordier, le réalisateur du très brillant Gaspard va au mariage !

  DPEQ-LMXcAAYFq8 On en a déjà parlé deux fois sur ce site ici et , et on en met une troisième couche, un peu moins d'une semaine avant la sortie du film Gaspard va au mariage, le 31 janvier prochain.

Il faut dire qu'on a tellement aimé le film qu'on a cherché à rencontrer le aussi talentueux que sympathique cinéaste qui a pris le temps de répondre à toutes nos questions sur le film.. Compte rendu de notre entretien  ci dessous :

  INTERVIEW ANTONY CORDIER/ BAZ'ART POUR LE FILM "GASPARD VA AU MARIAGE"

antonycordier

 

  Baz'art :  Bonjour Antony  et merci énormément de prendre la peine de répondre à toutes nos questions!

Antony Cordier : Merci à vous pour l'idée de cet entretien !

   Baz'art :      Vous n’aviez pas réalisé de long métrage depuis 7 ans et « Happy few ». Est-ce que l’accueil assez tiède réservé à ce film, après le succès de votre premier film, « Douches froides »,  a rendu vos projets plus difficiles à voir le jour? 

          Antony Cordier :   Soit c'est ça, soit c'est parce que je suis paresseux, soit c'est parce que pour faire un film tous les 2 ans dans le cinéma français il faut savoir organiser des dîners chez soi le vendredi soir avec les bonnes personnes et que je ne sais pas le faire. Comme je suis un garçon mesuré je dirais que c'est un peu de ces trois raisons.

  Baz'art  : On dit souvent que, pour un jeune cinéaste,  après un premier essai réussi,  c’est souvent le second film qui est le plus compliqué à accoucher, notamment en termes d’écritures… Partagez-vous ce sentiment et du coup, êtes- vous senti plus libéré lors de l’écriture de « Gaspard va au mariage » par rapport à celle d’ »Happy Few « ?

Antony Cordier  Non, pas vraiment. Ce qui est long et difficile, c'est de faire de la fiction, c'est-à-dire de partir de rien, parce qu'à ce moment-là tout est remis en cause dans le processus de fabrication et de financement. Si vous faites le biopic de Dalida, vous n'avez qu'à dire : "C'est une chanteuse, elle naît au Caire, puis elle chante Bambino et à la fin elle meurt." Personne ne vous embête, tout le monde est rassuré parce que tout le monde connaît l'histoire et les chansons. En plus on se dit: "C'est super, les gens qui aiment Dalida iront voir le film." Mais imaginez que Dalida n'a jamais existé et que vous voulez faire une pure fiction qui s'appelle Dalida...

On va vous dire : " C'est bizarre, une chanteuse égyptienne, on n'y croit pas ! Pourquoi est-ce qu'elle ne naîtrait pas à Paris plutôt qu'au Caire ? Et si c'était une actrice plutôt qu'une chanteuse ? Ou une vendeuse de chaussures ? Et si elle ne mourait pas à la fin ? Et si elle s'appelait autrement ?" Donc non, ça ne m'a libéré de rien malheureusement. Je suis désolé pour cette mauvaise nouvelle mais c'est un métier où il n'y a pas d'apaisement !

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  Baz'art : Vos deux premiers longs métrages abordaient principalement la thématique du couple. Dans votre nouveau film, c’est plutôt la famille qui est au centre des débats… était-ce une volonté assumée dès le début de l’écriture de sonder enfin la sphère familiale ou cela est arrivé un peu par hasard?

Antony CordierMes héros ont toujours eu des parents parce que je m'intéresse systématiquement à leur trajectoire sociale. Même quand je rencontre un acteur ou un technicien je lui demande toujours "Ils font quoi tes parents dans la vie ?" Et je leur parle des miens. Donc je ne sépare pas vraiment ce film-ci des deux autres.

Finalement ce que ces trois films racontent, c'est qu'on est toujours un peu plus de deux dans un couple. Les amants d'Happy Few ou la famille de Gaspard va au mariage, c'est la même chose : c'est une entité qui fait entrer le couple dans la confusion, et cette confusion c'est le film.

      Baz'art  Le titre de votre film nous  semble  assez trompeur,  au moins pour deux raisons : premièrement, il laisserait entendre qu’on affaire à un genre bien précis, la comédie de mariage, ce que le film n’est pas vraiment, et d’autre part il laisse supposer que Gaspard en est le personnage principal, or le film est surtout choral et, si un personnage nous sert de guide, ça serait plutôt Laura (Lætitia Dosch). Pourquoi du coup avoir choisi un tel titre, et pas, par exemple, une métaphore animalière qui poserait de suite les bases du décor si singulier du film, à savoir ce zoo ?

Antony Cordier    Même si ce que vous dites est juste, pour moi le titre n'est pas trompeur, ou alors il l'est doublement : Gaspard va bel et bien au mariage et c'est ce que raconte le film. Sauf que lui pense qu'il va au mariage de son père, celui du scénario. Alors qu'en fait, sans le savoir, symboliquement, c'est à son propre mariage qu'il va : il trouve l'amour.

Dans le film, chacun doit trouver l'amour, comme dans une pièce de Marivaux, donc le secret c'est que tous les personnages vont à leur propre mariage, le père, le frère, la sœur et Gaspard. Et le spectateur y va aussi. Quand Martine va à la plage, vous y allez aussi..

gaspard

         Baz'art :      Toujours à propos du côté surprenant de votre film, on sent que vous avez pris plaisir à déjouer les attentes du spectateur pour qu’il ne se sente pas en terrain conquis. Ainsi, au début du film on pense que le fait que Gaspard et Laura ne soient pas un vrai couple va constituer le moteur principal de l’intrigue or, finalement, les quiproquos attendus ne viendront jamais. Était-ce important pour vous et votre co-scénariste de situer votre intrigue un peu en dehors des clous?

            Antony Cordier  : Absolument ! On avait conscience de travailler avec des éléments dramatiques assez conventionnels : "Ils pensent ne pas s'aimer mais en fait ils s'aiment." "L'entreprise familiale va mal, faut-il la vendre ?" Avec ces éléments, vous pouvez très bien faire une épouvantable saga de l'été pour la télé... ou écrire La Cerisaie !Notre idée, c'était qu'aucun motif dramatique ne devait prendre le dessus, qu'on devait surfer sur chaque enjeu, qu'il fallait aller vite avant que ça "prenne", un peu comme un ciment frais dans lequel on serait en train de marcher.

          Baz'art :      La grande réussite de votre film, c’est qu’il parvient à tenir tout du long la partition délicate entre comédie décalée et fantaisiste et sujets profonds, teintés de mélancolie. Est-ce que cet équilibre était présent dès l’écriture ou bien c’est plus au tournage, puis au montage, que le puzzle a pu totalement se mettre en place ?

           Antony CordierC'est vraiment très agréable d'entendre ça ! Je suis de plus en plus persuadé que ça se joue dans la direction d'acteurs. Souvent, les acteurs ont tendance à jouer naturellement "le drame du sujet" et il faut les amener à jouer "la comédie du sujet".

Par exemple, dans les premières répétitions avec Félix Moati et Christa Theret, je voyais qu'ils avaient tendance à prendre leur relation comme une tragédie qui faisait souffrir leurs personnages de manière souterraine.

Il fallait absolument éliminer tout ça. Quand ils prennent  leur bain ensemble, s'ils jouent une sorte de gêne, alors ça devient insupportable pour le spectateur. Mais s'ils jouent comme si tout était normal, alors ça devient drôle... et gênant pour le spectateur, mais d'une manière intéressante et presque agréable. Le premier plan que j'ai tourné, c'est lorsque Marina Foïs, Félix Moati et Guillaume Gouix découvrent des trous dans les clôtures du zoo.

J'ai coupé très vite pour dire "Oh la la, c'est beaucoup trop sérieux !" Ça les a étonnés mais, ensuite, on n'a fait que ça : éliminer l'esprit de sérieux. Et finalement, pour reprendre votre question, ce que je demande principalement à toute mon équipe, que ce soit la scénariste, le chef-opérateur, la décoratrice ou la monteuse, c'est de faire de la direction d'acteurs : réunir les mots, les situations, les lumières, les objets, les couleurs, les raccords pour que les acteurs jouent le mieux possible, avec le plus de plaisir possible.

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    Baz'art :   De la même manière, vous utilisez vos comédiens dans un registre un peu différent de ce qu’ils ont l’habitude de montrer. Ainsi Lætitia Dosch  est plus apaisée que dans ses rôles précédents ; Christa Theret, souvent cantonnée à des rôles sombres, offre une partition très barrée  alors que Guillaume Gouix, souvent un peu «  chien fou », a ici le rôle du frère plus cartésien… Aviez particulièrement envie de sortir vos comédiens de leurs zones de confort  pour qu’ils vous surprennent et surprennent également le spectateur ?

       Antony Cordier :  En fait, cela  peut se comprendre de deux manières. D'abord, j'ai toujours peur que les comédiens s'ennuient et que ça se voie, donc j'aime bien leur proposer des challenges. Ensuite, je trouve que le casting est une étape de la ré-écriture du scénario où le choix des acteurs ne doit pas redire ce qui est déjà dans le scénario. Par exemple, pour le personnage de Virgil, le grand frère : il était défini comme "le gestionnaire". Si vous prenez un acteur qui convient au registre de gestionnaire, alors c'est juste un pléonasme et les scènes deviennent lentes parce que le spectateur comprend très vite.

Alors que si vous choisissez Guillaume Gouix, qui a quelque chose d'abrupt, qui est l'antithèse du gestionnaire, ça devient intéressant parce que le spectateur se dit : "Ah tiens c'est bizarre, il n'a pas l'air à sa place."

Et alors,  le choix de l'acteur ré-écrit le scénario pour l'emmener ailleurs : on se dit que le film parle de la place que la famille assigne à chaque membre, et de la façon dont chaque membre essaie de se défaire de cette assignation. Virgil est à la place du gestionnaire mais on voit grâce à l'acteur que le personnage porte une contradiction, qu'il a, comme le disait Guillaume Gouix au sujet de son personnage, une poésie en lui qui est étouffée.

 gvam010-agat-films--cie-artemis-productions-2017          Baz'art :     J’ai vu que vous aviez filmé dans un vrai zoo qui était en activité au moment du tournage… Était-ce important pour vous que le décor soit «  réel » et comment avez-vous réussi à gérer les contraintes de tournage avec celles de l’ouverture du zoo au public ?

            Antony Cordier : Le Parc Zoologique du Reynou est un zoo très vaste, parce qu'il mêle un parc animalier et un parc forestier, avec l'idée d'offrir le maximum d'espace aux animaux. Donc je dirais qu'on n'a pas tellement été gênés par l'activité du zoo ou le public. C'est au contraire une chance immence de pouvoir avoir la matière documentaire du film sous les yeux quand on tourne. Par exemple on a vu le premier jour de tournage que les bottes de nos personnages ne convenaient pas, qu'elles n'avaient pas la patine adéquate.

Du coup on prenait les bottes des vrais soigneurs, on échangeait leurs vieilles bassines contre des bassines neuves, etc. Il y avait un échange sympathique entre les deux équipes, celle du film et celle du zoo. On a construit par exemple dans le sous-sol un décor de vivarium que le zoo a décidé de conserver pour faire des démonstrations pour les visites scolaires.

       Baz'art :     Votre film possède de vrais moments de  grâce et de poésie, notamment grâce à toutes les inventions de Gaspard… pouvez-vous nous en dire plus sur l’origine de ces inventions inspirées visiblement de l’art japonais ?

      Antony Cordier :       Je cherchais comment incarner l'idée d'un petit garçon génial, Gaspard donc... A un moment on a imaginé un petit bricoleur, puis un petit inventeur fou, comme dans les bédés de notre enfance (Gaston Lagaffe par exemple). Puis je me suis souvenu de cet art japonais, le chindogu. Il s'agit d'imaginer une invention qui va vous aider dans une difficulté de la vie quotidienne - par exemple: comment refroidir ma soupe qui est trop chaude ?

Mais là où la poésie et le caractère anarchique du chindogu intervient, c'est que l'invention doit amener une difficulté supérieure au problème qu'elle résout - par exemple : installer un mini-ventilateur à piles sur votre cuillère à soupe.

Bref ce sont des inventions absurdes, gratuites et drôles. Si jamais votre chindogu est utile, si vous utilisez souvent votre chindogu... alors ce n'est pas un chindogu !

            Baz'art :      Une autre séquence phare de votre film, qui  lui apporte énormément de grâce, est cette scène de danse qui semble totalement impromptue. Était-elle écrite dans le scénario ou a-t-elle été improvisée au moment du tournage ?

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      Antony Cordier :  Dans le scénario, Gaspard (Félix Moati) et Coline (Christa Theret) devaient juste danser un rock. Et puis, pendant la préparation, pendant les essais lumières précisément, je me suis dit qu'il fallait inventer quelque chose de plus drôle, quelque chose qui soit plus excitant à faire pour les acteurs, pour moi et pour toute l'équipe. C'est vraiment comme un jeu d'enfant ou comme on fait un film quand on est adolescent : "Et si on faisait une chorégraphie ?!" Ça tient peut-être au fait que, comme vous le faisiez remarquer au début de notre entretien , j'ai mis sept ans à monter ce film. Du coup, j'avais envie de m'éclater. Si on s'éclate une fois tous les sept ans, il ne faut pas rater l'occasion !

Le métier de réalisateur offre cette chance immense : on peut s'intéresser à plein de domaines à l'intérieur d'un film. Donc là j'ai eu envie de travailler une danse. J'ai pensé à la danse de "Simple Men" de Hal Hartley qui était un hommage à la danse de "Bande à part" de Jean-Luc Godard. J'ai choisi une musique que j'aimais, l'ami du costumier qui était danseur a conçu des pas de danse, puis je suis allé danser avec les acteurs, pour le plaisir. C'est une manière agréable de travailler un rôle, plus agréable que de répéter des dialogues.

Et chaque acteur a fait avec ses armes, c'est ce qui rend la scène intéressante car ils dansent chacun d'une manière différente : Guillaume avec son habileté, Félix avec sa poésie... et Christa Theret s'en sort au charme.

Et cette idée permet de sortir du champ du scénario. On se dit : "Mais c'est quoi ? Une danse qu'ils faisaient quand ils étaient enfants et dont ils retrouvent les pas en quelques secondes ?" Un hors-champ s'ouvre, alors et celui ci  est profondément émouvant.

          Baz'art :    Dans le même ordre d'idées, mais sans doute de manière plus générale, la réussite de « Gaspard va au mariage », c’est qu’il s’installe loin du cynisme ambiant qu’on a souvent dans les comédies actuelles et qu’il cultive une vraie tendresse pour tous ses personnages… Est-ce que là encore, c’est quelque chose qui vous tenait particulièrement à cœur à vous , et à  votre conscénariste Julie Peyr , et ce, dès le départ du projet?

           Antony CordierAh oui ! Quand on regarde des comédies françaises, avec Julie, on ne comprend jamais pourquoi les personnages s'aiment ou pourquoi les personnages sont amis puisqu'ils sont si cons et qu'ils ont l'air de ne pas se supporter. La comédie française récente considère souvent comme audacieux de se ratatiner derrière la psychologie mesquine de ses personnages. Il suffit de regarder les titres: "Jalouse", "Radin", "Connasse". Bon, évidemment il n'y a pas de règle et si on a du génie on peut faire "Affreux, sales et méchants" mais là au moins il y a un propos politique dévastateur. Moi j'ai l'impression que les choses sont plus drôles quand on travaille sur les vertus des personnages.

Ce qui est drôle dans la vie, ce sont les qualités des gens, pas tellement leurs défauts. Quand Gaspard retourne dans sa famille, il remet le doigt dans un engrenage qui est un torrent d'affection familiale : son père l'idolâtre, son frère réclame sa présence, sa sœur le désire... C'est une catastrophe pour lui et la forme de cette catastrophe, c'est l'amour.

R0030550            Baz'art :   Il est amusant d'observer, dans des rôles assez secondaires, surtout pour la seconde,  deux de vos actrices de votre précédent film, Marina Foïs et Elodie Bouchez. Avez-vous écrit ces deux rôles uniquement pour le plaisir de les filmer à nouveau ?

           Antony Cordier :  Je n'écris jamais pour un acteur en particulier, pour la raison que je vous expliquais tout à l'heure : le choix de l'acteur doit ré-écrire le scénario. Marina, c'est l'une des personnes les plus intelligentes que j'ai rencontrées dans ma vie, et j'utilise tout le temps cette intelligence. Je l'écoute. Elle avait lu le scénario très en amont pour me donner son point de vue et je lui ai vite proposé le rôle. Avec elle, je comprenais que le personnage n'avait pas besoin d'être aimé parce qu'il n'avait pas besoin de faire comme les autres - et ne pas faire comme les autres, c'est Marina.

Elodie, j'ai hésité à lui proposer le rôle parce que c'était juste une apparition, je ne voulais pas que ce soit insultant pour elle, mais j'avais envie de ressentir de nouveau ce plaisir : Elodie arrive sur un plateau et tout le monde tombe dans un état d'adoration. D'un seul coup, c'est comme si c'était La Nuit Américaine sur le décor, on a l'impression que l'accessoiriste va aller demander au chef machino si les femmes sont magiques.

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          Baz'art :          Dans quel état d’esprit êtes-vous, à quelques semaines de la sortie du film : particulièrement tendu par l’accueil que le public va réserver à votre film, ou plutôt serein en vous disant qu’au jour d’aujourd’hui ce n’est plus vraiment vous le maitre du jeu ?

         Antony Cordier :   Je suis moins stressé que pour mes autres films mais, étrangement, bien plus ému. Je crois que c'est parce que Gaspard va au mariage est un film qui a failli ne pas exister. C'était un film que personne, mais vraiment personne, ne voulait financer, et je suis reconnaissant à Nicolas Blanc chez Agat Films d'avoir fait preuve d'autant de ténacité. Il n'a pas fait partie de ceux qui, comme on dit dans le milieu, "écoutent les signes du marché". Il a été capable de penser par lui-même.

              Baz'art :       Enfin, je vous laisse avec une dernière question plus personnelle, et sans doute plus anecdotique : votre film laisse entendre qu’on a tous un animal caché en soi… Si vous deviez choisir un animal en particulier qui vous définirait le mieux, quel serait-il et pour quelles raisons  ?

          Antony Cordier  :   Le koala. Et pour comprendre, il faut voir le film.

   Baz'art :      Et bien je suis sur que cette réponse mystère donnera envie aux derniers indécis d'aller voir le film . Merci Antony  pour toutes ces réponses et on souhaite une magnifique carrière à votre « Gaspard va au mariage ! « 

Antony Cordier  : Merci à vous, vos questions étaient très pertinentes et j'ai pris beaucoup de plaisir à y répondre !

Baz'art: Esperons que les lecteurs auront plaisir à vous lire..et évidemment à voir le film aussi !!

 

 

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