
Rosa, rosae, rosam….
Les mouvements se déclinent comme les terminaisons latines. Lentement d’abord, comme pour pénétrer le corps, l’esprit, avec une certaine délectation, dans des étirements presque félins, comme un rituel de réveil qui ne voudrait pas finir. Le sol-miroir semble coller aux corps : sa surface réverbère et étire l’image des quatre danseuses qui y sont allongées et tentent de se décoller de cette couche gluante. Chaque geste devient une lutte pour s’extirper de ce magnétisme.
Dos, coudes, tête,...
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