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Michel Carly  nous propose une déambulation littéraire   sur les pas d'un Georges Simenon,  qui aura passé beaucoup d'été à La Rochelle, cité de mer et d'atmosphères qui l'a particulièrement inspiré au fil de son oeuvre. 

Cette belle ville de province sera pour lui un  étonnant  champ d'observation. pour ses romans à venir.

Il entre en fusion avec la ville de la Rochelle,  la ville ne manqua pas de l'inspirer dans sa première partie de sa carrière d'écrivain entre 1927 et 1940 dans des romans comme .le Testament Donadieu ;le Voyageur de la Toussaint ( un  roman très noir, écrit en 1941 et dans lequel le lecteur perçoit l’ombre nazie), ou Les Fantômes du Chapelier.

 

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 Simenon  a scruté cette ville maritime dans ses plus grands recoins, sans la moindre concession, cette promenade littéraire particulièrement documentée le montre parfaitement.  Simenon aimait notamment  les rues populeuses les jours de marché et la tour de la Grosse Horloge  de la cité

Carly , aujourd’hui l’un des meilleurs spécialistes de l’œuvre de Georges Simenon nous propose une très belle ballade littéraire qui donne  incontestablement envie de se replonger dans un Simenon. Malheureusement,  il va être  contraint de quitter la ville, et  conclura : en ces propres mots  « La Rochelle, une des villes au monde que j’ai le plus aimées »
 

Simenon, le bonheur à la Rochelle ( éditions Omnibus) / Lu dans le cadre de Masse critique non fiction