
" Le Japon était alors le pays paisible et sans histoire où je me reposais entre deux théâtres de guerre. Mais il m' était impossible d' oublier totalement Lucie Blackman et Joji Obara.
Le procès se poursuivait doucement, au rythme d' une audience par mois, et, dès que je le pouvais, j' allais moi-même au tribunal du district de Tokyo ou bien j'y envoyais un de mes assistants japonais qui revenait avec des pages remplies de notes aussi détaillées que déconcertantes. Difficile d' expliquer pourquoi cette histoire...
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