LES MONTRES AU CINÉMA: la belle alchimie entre 7eme art et horlogerie
Frédéric Liévain, auteur, réalisateur audiovisuel, journaliste, cinéphile éclectique et passionné d’horlogerie est également l’auteur de James Bond, l’espion qui aimait les montres,en 2016.
Dans son nouveau beau livre, toujours paru au cherche midi éditeur il sonde l'alchimie qui existe entre horlogerie et 7eme art en montant à quel point la montre a souvent été un acteur à part entière de très nombreux chefs d'oeuvre du cinéma.
Evidemment le film d'espionnage, dont 007 est l'archétype parfait a mis en avant de très belle facon les ressorts scénaristiques des montres, mais l'éclat de cet objet brille aussi de milles feux dans les suspens noirs du Hollywood des années 50/60 ou également comme l'archétype du personnage féminin glamour et ultra tendance.
Steve McQueen et sa Tag Heuer ou Ryan Gosling dans Drive avec sa Calatrava. auront parachevé ce lien et parachevé les affinités électives entre les montres et le monde du cinéma.
Une analyse et un point de vue interessante tenue... montre en main
Parfois, les montres deviennent même des actrices à part entière, telles « the Gold Watch » dans la scène culte de Pulp Fiction (cachée dans l’anus de l’acteur),. Comme Frédéric Liévain l'affirme, "les montres au cinéma incarnent bien plus qu’un accessoire, même iconique. Si elles permettent de rehausser un costume, elles sont surtout symboliques, soulignent un statut où se font passeuses d’histoire. Maitresses du temps, elles sont souvent d’une importance cruciale pour le héros ».