mardi 09 février
Club Shellac : L’ÎLE AUX OISEAUX ,la clinique des ailes et des âmes brisées
Le 15 janvier, Shellac a lancé son abonnement SVOD, le Club Shellac.
Producteur, distributeur, éditeur, exploitant engagé depuis presque 20 ans dans la découverte de nouveaux talents et l'accompagnement d’auteurs reconnus, Shellac affirme, partage et perpétue ses choix éditoriaux en proposant d’adhérer à son club.*
Dans une volonté d’ouverture et dans sa stratégie éditoriale de distribution tous supports, à côté des films références et aures cinématographies plus... [Lire la suite]mardi 09 février
"Bonjour Pa'": les belles lettres enflammées et confinées d'Ariane Ascaride
"C'est une lettre du soir, cette fois. Les journées s'étirent sans fin et sans surprise. Chaque jour se rapproche à l'autre, sans évenement, si ce n'est un jour sans cesse grandissant de morts, qui quittent leurs vies seuls, sans aucun accompagnement possible, ça me désespere. La vie d'un être humain commence avec des gens qui l'accueillent et finit avec ceux qui l'accompagnent dans un dernier adieu.Jusqu'à présent, c'était ainsi que l'on célébrait le début et la fin d'une vie. Depuis un mois, les enfants... [Lire la suite]mardi 09 février
La mer noire dans les grands lacs : le beau roman des origines d'Annie Lulu
" Un jour les livres n'ont plus suffi. Ni le dos souple d'Eléna contre mes cauchemars. J'ai demandé une bourse pour aller faire ma thèse à Paris .
Nili est née en Roumanie, à la fin de la dictature de Ceausescu, dans une société foncièrement imprégnée par le racisme.
Lorsqu’elle interroge sa mère, Elena, sur la disparition de son père, un étudiant congolais qui s’est évaporé du jour au lendemain, celle-ci reste muette. . Surmontant au fil des ans la honte d’être une enfant métisse, Nili décide... [Lire la suite]mardi 09 février
Littérature étrangère : :Casa Triton l'amour de la musique et.. de la Finlande !!
"Partout, des êtres humains effectuaient de longues journées de labeur dans des hangars sans fenêtres ou des baraques prêtes à s’effondrer, afin que des gens beaucoup plus riches qu’eux puissent s’acheter des tee-shirts à cinq euros, du gratin de poisson surgelé à trois euros vingt-cinq et des tuyaux plastique peints avec des produits toxiques pour un billet de dix. Souvent, ces personnes-là touchaient un salaire journalier qui n’aurait pas suffi à payer un café chez Siiri."
//QUAND LA MUSIQUE DONNE... [Lire la suite]
