Arman Méliès prend un malin plaisir à dérouter son public en prenant constamment des directions différentes, donc en prenant des risques. Ne pas se répéter, aller de l’avant, tel a toujours été l’objectif d’Arman Méliès depuis son premier album
Dernier chapitre d’un ambitieux projet placé sous le signe des grands espaces et de l’héroïsme, Arman Méliès clôt sa Trilogie Américaine avec un album de folk crépusculaire où sa voix, libérée, reprend le premier rôle.
Laurel Canyon, cet album qui sort aujourd'hui , brille d’une folk électrique éclairée des expérimentations de ses deux disques frères : musiques électroniques pour Roden Crater, sorti en mai dernier, post-rock sur Basquiat’s Black Kingdom, publié il y 4 mois.
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Sur les traces d’anglo-saxons indociles comme Neil Young, les Doors ou Springsteen, ce rock dessine les contours des paysages rougeoyants.
Des guitares électriques telluriques s’abattent tels des éclairs sur « Laurel Canyon », tandis que des cordes orageuses à la Ennio Morricone viennent dégager l’horizon de « Météores », chanté en duo avec H. B. Thiéfaine.
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Arman Méliès vous convie à Laurel Canyon, mélancolique et inspiré, plus cinématographique que jamais, et cette voix plus ample et plus clair que jamais pour un album percutant et sophistiqué.
Avec Laurel Canyon, Arman Méliès offre un opus vibrant et viscéral. Les titres "Avalon", "Une Promesse" ou "Laurel Canyon" sont des pépites incandescentes à écouter toutes affaires cessantes !!
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