vendredi 23 avril
" Bobards! Une brève histoire des plus gros mensonges "
Saviez vous que des 1835, le New York Sun relatait sans vergogne la découverte d’une vie extraterrestre sur la Lune, l’attribuant au plus grand astronome de l’époque.
Quelques décennies auparavant, le meilleur cartographe de son temps, James Rennell, imagina une immense chaîne de montagnes en Afrique, les fameux monts de Kong, que nombre d’explorateurs jureront avoir traversée.
TOM PHILLIPS, ournaliste et humoriste anglais, collabore à un site de fact-checking londonien. Dans son nouveau livre paru en... [Lire la suite]vendredi 23 avril
Critique d'album : L'amour hélas : avec Clio c'est plutôt l'amour, heureusement !!!
On avait échangé à ce sujet avec elle l'an passé lorsqu'on l'avait interviewé : les chansons de Clio parlent quasiment toutes d'amour, avec des histoires de couples qui semblent rarement dans le bon tempo.
Elle l'avait alors reconnu avec l'humilité qui la caractérise : depuis qu'elle a commencé à écrire des chansons, aborder les élans du cœur l'intéresse au plus près et elle ne se sent pas vraiment légitime pour attaquer d'autres sujets, jugés plus estimables par certains, car plus sociétaux ou... [Lire la suite]vendredi 23 avril
Nouveauté Poche : Elmet de Fiona Mozley : un drame gothique à la Ken Loach
"Il y eut pourtant un déclencheur. Quelque chose qui se modifia dans son esprit. J'ignore si c'est l'événement lui même ou le fait que je sois impliiqué, mais il se produisit quelque chose".
Dans la région du Yorkshire où la nature est aussi splendide que peu hostile, deux enfants, Danny et Cathy vivent au milieu de la forêt, avec John, leur père, un homme , très grand, taciturne et manuel- il a construit de ses propres mains la maison dans lequel les trois vivent- qui ... [Lire la suite]vendredi 23 avril
Vendredi Littérature : Les mouches bleues : un récit poignant et pourtant porteur d’espoir
« Dans le châlit, je tends l’oreille. J’entends la plainte des ombres faméliques. Celles de nos vies qui s’épuisent. La femme de l’escalier ne jetterait pas un regard sur l’homme affaibli et fiévreux de vingt-six ans que je suis devenu. En quatre ans (quatre ans que j’ai franchi la porte du camp), des tombereaux d’eau ont coulé sous les ponts de la Vistule à Varsovie. C’est un crève-cœur, mais je me force à l’oubli – du moins j’essaye. Sachsenhausen a aussi détruit mon passé. Et si hier et demain ne comptent pas, il... [Lire la suite]
