vendredi 08 octobre
Sortie vidéo : Ibrahim, le beau drame pudique et sensible de Samir Guesmi
Excellent comédien devant la caméra des autres, ( on se souvient notamment de son rôle d'apprenti nageur fou amoureux d'une maitre nageuse dans l'effet aquatique dela regrettée Solveig Anspach ) Samir Guesmi signe avec Ibrahim son premier film en tant que réalisateur, un long métrage très justement récompensé lors des derniers festivals d'Angoulème ou Angers.
Il joue aussi le rôle d'Ahmed, écailler dans une brasserie et père d'un jeune garçon, le Ibrahim du titre, timide et... [Lire la suite]vendredi 08 octobre
A voir aux Célestins : Love: une pièce qui prend à la gorge.
Présentée actuellement au théâtre des Célestins, la nouvelle pièce du dramaturge anglais Alexander Zeldin nous plonge dans le quotidien d’un foyer d’urgence au Royaume-uni à la veille de Noël.
Une sacrée pièce et beaucoup de talent dans la mise en scène, l’écriture et les acteurs sur scène...faire revivre la pièce principale d’un foyer d’urgence sans tomber dans la caricature avec pathos il en fallait sacrément du talent!!On vous en dit plus de suite
"Une étape cruciale dans la création de Love a consisté à... [Lire la suite]vendredi 08 octobre
Critique d'album : "DYADE": quand Cyril Mokaiesh renoue joliment avec l'autre en chansons
Tiens, qu'est qu'on a appris récemment? Cyril Mokaiesh, artiste rare et singulier, qui ne fait jamais pareil que les autres, aurait profité de la période si particulière du confinement pour livrer un album de duos, comme d'autres artistes ont pu le faire en même temps que lui ( rien que pour ceux qu'on a rencontré, Boulevard des airs ou Yvan Marc ont eu la même idée)? ..
Il faut dire que ces moments de confinement forcé ont sans doute donné envie aux artistes de se se réunir et de lutter contre cette solitude... [Lire la suite]vendredi 08 octobre
Au printemps des monstres : Philippe Jaenada un vrai romancier et un vrai humaniste
« On ne saura certainement jamais ce qui est vraiment arrivé à Luc Taron. Tout ce que l’on peut dire, c’est que Lucien Léger a été condamné – et a passé plus des trois quarts de sa vie d’adulte incarcéré – sans preuve, sans témoin, sans mobile. Hormis ce qu’il a lui-même écrit pendant quarante jours délirants alors qu’il était certain de n’être jamais pris, pas la plus infime preuve, pas le moindre témoin, pas l’ombre d’un mobile.
Ce que l’on peut dire aussi, c’est que si tout, de loin, paraît... [Lire la suite]
