
« Elle ne se raconte pas d’histoires, elle ne se bande pas les yeux : elle cherche derrière le crime privé, la loi générale. Cette loi qu’elle énonce, c’est celle de la domination, de la tentation du pouvoir absolu, mais aussi d’une « fausse » révolte et d’une « lamentable rébellion ». Elle n’aura, pour trouver la sienne, qu’à en inverser les termes : créer, au lieu de détruire, passer du côté des dominés, aller vers la « vraie révolte » : « Le viol me rendit à jamais solidaire de tous ceux que la société et la loi...
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