4 mai 2022

  On le sait, le talent n’est pas héréditaire. Et c’est tout le drame de la vie de Jean-Charles Millet, petit-fils de Jean-François Millet, l’illustre peintre de L’Angélus, des Glaneuses mais aussi auteur de nombreux dessins et gravures. À défaut d’être talentueux, le petit-fills est malin. Et l’idée lui vient de faire commerce de fausses oeuvres de son grand-père (qu’il fait réaliser par un copiste de génie) en y apposant le cachet de l’artiste. Ni vu, ni connu, il fait ainsi fortune en vendant à des galeristes aussi naïfs... [Lire la suite]

   Le trublion désabusé et cynique revient sur une année de pandémie qui a failli nous rendre fous.  Mis à la diète pour cause de Covid 19, Stéphane Guillon n’a pas pu dire de méchancetés pendant plus de 18 mois. Un sevrage dur, éprouvant, inhabituel. Alors que certains ne pouvaient plus cuisiner, faire des cocktails, vendre des vêtements… Guillon ne pouvait plus étriller son prochain. Que faire ? Se reconvertir, devenir gentil, réserver ses piques pour son cercle familial le plus proche ou continuer à écrire des... [Lire la suite]

  Pour Salvatore, cinéaste en vogue, c’est tout un pan de son passé qui s’écroule : on l’appelait Toto à l’époque. Quand il n’était pas à l’école ou à l’église, Toto hantait le cinéma “Paradiso” et sa cabine de projection, où Alfredo lui apprenait la vie grâce aux vieux mélos et aux comédies.. Grand Prix du jury à Cannes et Oscar du meilleur film étranger en 1989, le second film de Giuseppe Tornatore  Cinéma Paradiso peut se revoir à tout moment et notamment en ce moment en hommage au comédien Jacques Perrin récemment... [Lire la suite]