
On avait découvert le jeune cinéaste argentin Benjamin Naishtat,avec Historia del miedo" (« histoire de la peur », en français), film choral très intéressant dans lequel le cinéaste argentin soignait cependant plus sa mise en scène et son sens du cadrage,que son récit, un peu trop mince et décousu.
"Rojo", le troisième long-métrage du réalisateur , vu en compétition lors du dernier festival de Beaune, a tendance à développer les mêmes symptomes, qualités et défauts compris .
La scène d'ouverture...
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