
Quatrième de couverture :
1er septembre 1977, Maria Callas est chez elle, dans son grand appartement parisien de l’avenue Georges-Mandel, seule. Rideaux tirés, elle regarde les photos de ses rôles, réécoute ses disques et se souvient de sa vie.
Elle disparaît le 16 septembre au matin. On a dit que le grand air de Tosca, Vissi d’arte, vissi d’amore (« J’ai vécu d’art, j’ai vécu d’amour ») résumait toute son existence : elle a vécu d’art, c’est certain, mais d’amour ?
Dans ce récit émouvant en forme de journal imaginaire,...
[Lire la suite]