
"Partout, des êtres humains effectuaient de longues journées de labeur dans des hangars sans fenêtres ou des baraques prêtes à s’effondrer, afin que des gens beaucoup plus riches qu’eux puissent s’acheter des tee-shirts à cinq euros, du gratin de poisson surgelé à trois euros vingt-cinq et des tuyaux plastique peints avec des produits toxiques pour un billet de dix. Souvent, ces personnes-là touchaient un salaire journalier qui n’aurait pas suffi à payer un café chez Siiri."
//QUAND LA MUSIQUE DONNE...
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