
Je l’ai dit en tout début d’année dans un billet que je lui avais consacré à l’occasion de la parution de son autobiographie, Claude Brasseur fut l’un de ces acteurs qui comptent pour moi tant ils ont bercé mon enfance, que ce soit son rôle de papa de Vic dans la Boum ou bien le larron homosexuel du quatuor fou d'Yves Robert d"'Un éléphant ca trompe énormément" et sa légendaire suite.
Jusqu’à présent, je n’avais pas eu l’occasion d’aller l’applaudir au théâtre, mais c'est désormais chose faite depuis mercredi soir,...
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