
Lors de ma récente critique du beau polar chinois Black Coal, je vous disais qu'il pouvait parfois m'arriver d''apprécier un film tout en ayant le sentiment, lorsque le générique de fin arrive, de ne pas avoir saisi grand chose des subtilités que j'ai pu voir sur grand écran.
Cependant, ce sentiment n'est pas toujours évident lorsque le "pas grand chose" se transforme en "presque rien", comme ce fut le cas en sortant de la projection du film "Enemy", le dernier film (en tout cas le dernier film à sortir en salles...
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