
En prison, les membres de l'ETA qui se repentent, peuvent s'ils le souhaitent, rencontrer les membres des familles de leurs victimes pour une demande de pardon.
Ce processus de réconciliation nationale dont l'objectif est d'accompagner le mouvement de cessez-le-feu et la fin du terrorisme basque d'ETA a été mis en place en 2011.
Reconnaitre sa culpabilité face aux victimes peut s'avérer libérateur pour le coupable et pour les victimes.
Onze années après l'assassinat de Juan Maria Jauregui, ex préfet et militant...
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