
Parmi les immenses cinéastes français récemment disparus à qui je n'ai jamais rendu l'hommage qu'ils méritaient sur mon blog, figurent en compagnie de Claude Miller et d'Alain Corneau, l'immense Claude Chabrol.
Il est donc plus que temps de réparer cet affront et je vais le faire par le biais de deux chroniques successives, une sur l'œuvre entière de cet cinéaste, par le prisme d'un livre magnifique et récent de Michel Pascal sur lequel je reviendrais prochainement, et l'autre par l'analyse d'un film que j'ai revu par hasard...
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