
"Augusto sait qu'il n'a pas le choix. Quand on vient du quartier le plus pauvre de San Perdido, on apprend en naissant que vivre demande beaucoup d'efforts. La ville est sans pitié. Mais partir pour Colon, Panama City ou même en Colombie ou au Costa Rica ne changerait rien . Sur cet isthme qu'est l'Amérique centrale, on regarde le monde avec le point de vue d'un nain coincé entre deux géants."
Voilà un vrai roman, dans le sens le plus "romanesque" et dépaysant du terme, pour une saga aussi colorée,...
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