
Bon pour le moment, les films du festival que ceux qui n'ont pas eu la chance d'aller sur la croisette ( soient 99,9% des français, une évidence qu'on peut rappeller lorsqu'on voit ma TL pendant ma quinzaine) pouvaient aller voir en même temps que les autres ne sont pas terriblement excitants et ne font que décevoir.
On a déjà parlé du dernier Desplechin qui frise largement l'autocomplaisance et la masturbation intellectuelle, on va prochainement parler du déroutant Amant Double d'Ozon, mais avant cela, le second film cannois...
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