
La détresse d’un adulte face à l’un de ses parents malade est un thème qui a déjà été traité de nombreuses fois au cinéma. On peut citer Good Bye, Lenin ! de Wolfgang Becker, où Daniel Brühl reconstruisait une RDA fictive pour éviter un choc brutal à sa mère sortie du coma après la chute du mur de Berlin, mais aussi le très beau Quelques heures de printemps de Stéphane Brizé dans lequel Vincent Lindon assistait tant bien que mal sa mère condamnée par une maladie.Ici, c'est le cinéma d'Amérique du Sud, urugayen...
[Lire la suite]