
« Les vivants deviendraient fous s’ils savaient le nombre de fantômes avec lesquels ils cohabitent. Et Karl repense à celui qui a perturbé nombre de nuits de sa propre enfance, comprend qu’il a toujours sangloté dans le noir à raison, qu’il n’a jamais été seul dans sa petite chambre sous les toits, contrairement à ce que lui promettaient ses parents pour l’apaiser. »
Meurtres de masses, suicides collectifs, parricides, infanticides, psychoses, commis par des hommes et des femmes dont le corps et l’esprit...
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