
Sans doute ai- je voulu faire mentir le fameux adage " jamais deux sans trois", car, après avoir évincé Tarantino puis Bigelow de ma sélection hebdomadaire( alors même que les films proposés à coté n'étaient même pas vraiment folichons), cette semaine, je ne me suis pas résolu à écarter Spielberg, cinéaste qui ne fait pourtant pas partie de mes dieux vivants, mais dont le Lincoln me semble quand même d'un niveau tel que je ne peux l'ignorer.
1.Lincoln :
Le pitch :
Les derniers mois du mandat du 16e...
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