
Vendredi, 20h55. La salle est pleine à craquer, le moindre strapontin ou vide laissé entre deux groupes est scruté par les derniers arrivants. On entre dans la salle du Petit Saint Martin avec l’idée qu’on a peu besoin de convaincre, la cause est déjà acquise, d’autant que c’est l’avant-dernière parisienne. Les critiques, l’encensement ont eu raison de ma curiosité, j’y suis allée.
Acclamée par les critiques depuis sa première à Avignon, Guerre s’affichait dans beaucoup de rues et de boulevard avec un visage qui en...
[Lire la suite]