
"Personne ne peut être entièrement anonyme. Ces gens devaient exister, se répétait-il en boucle. Mais il n’avait rien. Si les vents soufflaient dans son dos, il se trouvait malheureusement dans un désert. Après quelques semaines d’enquête qui lui avaient semblé défiler comme autant d’années, il se résolut à passer à autre chose. C’était la fatalité de son métier : les affaires s’empilaient, une nouvelle urgence chassait la précédente. Tant pis."
Lorsqu’on se retrouve face à un cadavre, il ne suffit pas de trouver l’identité...
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