
Après Pater, chronique ici, et avant la sortie presque coup sur coup en octobre de Polisse et de The Artist, est sorti mercredi dernier, le deuxième film français présenté en compétition à Cannes cette année, et ce film, c'est L'appolonide, souvenirs de la Maison Close. D'un abord certainement plus aride que le film de Maïwen ou celui qui a consacré Jean Dujardin, ce film n'en reste pas moins un grand film de cinéaste, réalisé par un metteur en scène exigeant, mais reconnu par ses pairs, Bertrand Bonnelo.
Mais L'appolonide n'est pas,...
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