"Un nouveau jour sur terre", prenez en plein la vue dès aujourd'hui au cinéma !
Nous avons eu la chance de voir en avant-première - merci encore à Léa de l'agence Cartel ! - le merveilleux documentaire Un nouveau jour sur terre de Richard Dale et Peter Webber qui sort ce mercredi en salles. 1h34 d'images à couper le souffle, avec la voix de Robert Redford (pour la version originale) et de Lambert Wilson (pour la version française) en fond sonore.
Dix ans après Un jour sur terre, le précédent documentaire produit par BBC Earth Films et dans lequel nous avions suivi le parcours de trois espèces, l'ours polaire, l'éléphant d'Afrique et la baleine à bosse, nous assistons à nouveau au plus incroyable et au plus fascinant spectacle que nous ayons vu pour Baz'art : celui de la Nature.
Cette fois, le point de départ est celui de la lumière, et plus particulièrement, de celle du soleil qui rythme la vie des animaux, tout comme la nôtre.
C'est grâce au lever du soleil que notre monde prend vie.
Grâce à des prouesses technologiques, à une multiplicité de prises de vue, à l'utilisation de matériels performants comme des drones ou des caméras Phantom 4K permettant de filmer jusqu'à 800 images par seconde, nous n'en perdons pas une miette.
Vous allez voyager à travers 22 pays, en Afrique à la rencontre du serval, en Equateur à celle de l'iguane marin des Galapagos, en Chine à celle des pandas géants (tellement mignons !), en Afrique à celle des lions, en Antarctique et en Arctique avec les manchots et les pingouins de Zadorovski.
Vous allez plonger dans les eaux glacées et nager aux côtés des requins à pointe blanche (une séquence un peu effrayante, il faut l'avouer), des cachalots ou encore, des narvals (qui font partie des animaux les plus mystérieux du monde). Vous allez voler avec les lucioles et les collibris. Vous allez trembler en voyant des bébés iguanes tenter d'échapper à des couleuvres voraces, une zébrelle à un guépard, ou encore à un petit rat des champs à une chouette prédatrice.
Vous allez apprendre des choses extraordinaires : que le panda mange jusqu'à 14 fois par jour, en majorité du bambou qui est la plante qui pousse le plus vite au monde, que le métabolisme du colibri est tellement rapide qu'il est obligé de se nourrir constamment, quitte à en venir au bec avec des abeilles industrieuses mais peu partageuses.
Que les rayures d’un zèbre des plaines sont comme nos empreintes digitales, chaque motif étant unique.
J'ai découvert des espèces que je ne connaissais pas, comme l'éphémère qui naît, devient adulte et meurt en l'espace d'une journée, ou comme le langur à tête blanche, dont les petits naissent roux probablement pour ne pas se perdre.
J'étais fascinée pendant tout le documentaire, l'intelligence incroyable des animaux me sidérait.
J'étais à la fois émerveillée et boulerversée par certaines images comme celle initiale et finale de notre "Lucky Planet" ou de celle de l'aurore boréale. La sublime musique, interprétée par un orchestre de 120 musiciens et un choeur, ajoutait à l'intensité du spectacle qui se jouait sous mes yeux ébahis.
La Nature est une merveille et heureusement qu'il existe de tels documentaires pour nous le rappeler. Vivement le prochain.