Quelques jours seulement après avoir mis en place un premier évènement autour du dessin animé Jean de la Lune ,certes uniquement consacré aux parisiens (et qui a eu un peu de mal à trouver des lecteurs intéressés), je vous démontre, en bon provincial que je suis devenu, que je ne privilégie pas que les habitants de la capitale.
En effet, toujours grâce à mon partenaire APC, j'offre la possibilité, à 5 d'entre vous, et un jour seulement après un autre concours autour d'un dessin animé, d'aller voir le film dès son jour de sortie, le 19 décembre prochain... Les vacances de Noel sont en effet une magnifique opportunité de passer un fort joli moment avec vos enfants, ou vos neveux et nièces, donc ces billets me semblent être fort à propos.
Et comme je le disais dans mon billet de jeudi, j'ai eu la chance de voir ce film plus d'un mois avant sa sortie salles.
Mais avant de donner mon avis, je voulais vous apporter une petite précision. Dans mon billet de jeudi, je me félicitais de la bonne santé de l'animation française, mais en réalité, si je veux être le plus juste possible, il faut savoir que Jean de la Lune est un long métrage animé franco-allemand. Outre-Rhin, le cinéaste Stephan Schsch a manifesté l'envie d'adapter pour le cinéma le petit livre pour enfants dessiné en 1966 par Tomi Ungerer. Ce dernier s'est est étonné, puis a accepté. Les deux hommes ont ensuite étoffé le récit en discutant pendant de longues heures...
Et pour moi qui connais un peu l'album original, je peux vous dire que le résultat est à la fois fidèle à l'original et se permet des trahisons ( telles que l'intervention d'un méchant président du monde) totalement réussies. Mais là où l'âme de l'album original est bien maintenu, c'est que le style si particulier de Tomi Ungerer est absolument reconnaissable et n'a pas du tout été abimé par l'adaptation.
Cette mise en image (24 images par secondes) n’enlève rien aux dessins originaux, elle les met en mouvement nous permettant ainsi de vivre des moments merveilleux de surréalisme A cet égard, la promenade de ce si mignon Jean de la Lune dans cette forêt qu’il découvre pour la première fois constitue pour les yeux des enfants et des grands un ravissement de couleurs et de poésie (mon fils n'a pu s'empecher de glisser à mon oreille : "oh papa, que c'est beau"!).
De plus, il faut souligner la grande qualité apportée à la bande son qui contribue à faire de ce voyage dans l'imaginaire une vraie réusite formelle.
Seul petit bémol: l'intrigue est parfois un peu étirée, et pourrait sembler parfois un peu longuette pour les enfants de moins de 5 ans. Une coupe d'une vingtaine de minute aurait certainement été bénéfique, même si cet étirement du temps joue aussi dans le coôté contemplatif et hyptonisant que l'on ressent à la vision de ce très beau court métrage.
Bref, maintenant, c'est à vous de savoir si vous allez- ou pas- partager mon enthousiasme, et pour cela, je vous propose donc de vous faire gagner ces 5 invitations pour 2 personnes pour voir le film en salle.
Pour cela, je vous pose simplement deux questions, dont les réponses figurent toutes deux dans mon article de jeudi dernier (comme je vous ai mis le lien, cela ne devrait pas être bien difficile à trouver).
Voici les questions :
Question 1 : . Quel est le titre d'un autre album jeunesse de Tomi Ungerer qui avait déjà fait l'objet d'une adaptation au cinéma en 2007?.
Question 2. : Quelle est la ville natale de l'illustrateur Tomi Ungerer, qui héberge également un musée à la gloire de l'auteur?
Vous avez les réponses? Alors ne tardez pas, vous me les donnez en commentaire à ce billet, et je vous laisse y répondre jusqu'au samedi précédant la sortie, soit le 15 décembre prochain, minuit.
Venez nombreux, ainsi, je pourrais continuer à vous gater avec des cadeaux culturels pour les petits et les grands..
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Quelques jours seulement après avoir mis en place un premier évènement autour du dessin animé Jean de la Lune ,certes uniquement consacré aux parisiens (et qui a eu un peu de mal à trouver des lecteurs intéressés), je vous démontre, en bon provincial que je suis devenu, que je ne privilégie pas que les habitants de la capitale.
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