C'était mieux après : une ode à la tolérance et à l'optimisme par Agnès Desarthe
"La raison pour laquelle je change souvent d'école n'est pas liée, je le précise à ma personnalité. Je ne fais pas spécialement l'imbécile, je ne me fais pas renvoyer pour raisons disciplinaires. En fait, je n'y suis pour rien.C'est à cause de mes parents. Ils ne savent pas rester au même endroit."
Vladimir est habitué à changer décole à cause de ses parents qui ont la bougeote et accessoirement un travail qui mpeche la sédentarité.
Cette année, il se retrouve dans une école composée d'élèves très étranges, surdoués précoces, vraiment à part, Catel, Lois, Lou Maltais ont tous des compétences et des spécialités hors du commun.
Mais qui dit surdoués dit aussi un peu inadaptés, et Vladmiri va alors imaginer un plan assez génial pour s'intégrer parmi ces marginaux....
Une jolie ode à la tolérance pour Agnès Desarthe aussi à l'aise dans la littérature adulte que la littérature jeunesse
Un plaisir de lecture, car truffé de bons mots et de traits d’humour., belles leçons de tolérance et d'ouverture d'esprit illuminées par les très sympathiques illuystrations de Gréogry Elbaz, collaborateur de Sfar pour le Chat du Rabbin.
C'etait mieux après. Agnès Desarthe, Grégory Elbaz; Gallimard jeunesse, 27 août 2020