Critique cinéma : le Traducteur: un thriller politique qui a la force d’un vrai témoignage poignant.
LE TRADUCTEUR, le premier long métrage de Rana KAZKAZ et Anas KHALAF est un témoignage frontal du courage en marche et les cinéastes parviennent à instaurer constamment un vrai climat oppressant où tout le monde soupçonne tout le monde...
Il en faut du courage pour manifester dans les rues pour réclamer tout simplement des droits fondamentaux comme un système de santé équitable, une éducation pour tous ou un vrai régime démocratique au risque de finir en prison torturé à mort.
Certes, le film est un peu scolaire, sans énormément de surprise véhiculant un petit air de déjà vu, chez Costa Gavras par exemple, mais tout de même c'est un film que l’on ne peut pas ne pas défendre, ne serait-ce que pour la force d’un exposé en pleine lumière du régime syrien qui a commis un nombre incalculable d’assassinats politiques...
Le traducteur, depuis 13 octobre au cinéma.
Distribué par Alba film
LE TRADUCTEUR, le premier long métrage de Rana KAZKAZ et Anas KHALAF est un témoignage frontal du courage en marche.
— Baz'art (@blog_bazart) October 14, 2021
Un film politique qui a la force d’un vrai témoignage poignant. #letraducteur à voir au cinéma pic.twitter.com/Q3XCoR2eQH