OVNI(s) : une saison 2 encore plus cocasse et fantaisiste que la saison 1!
Depuis que Didier Mathure a vu de ses propres yeux un ovni, il sillonne, en vain, la France à la recherche de nouvelles apparitions. Alors qu’il s’apprête à tout arrêter, un phénomène étrange se produit dans une centrale nucléaire. Un défi pour l’équipe du GEPAN, Didier, Marcel, Rémy et Véra, dépassée par ce mystère qui attise tous les fantasmes. Pour Didier, c’est sûr : une intelligence venue d’ailleurs cherche à établir le contact. Et il va tout faire pour essayer de lui répondre, à moins que Claire Carmignac du ministère de l’Équipement et de l’Énergie ne l’en empêche...
Un an après la formidable et réjouissante saison 1, nos ovni(s) préférés sont déjà de retour !
Sur le fil entre réalisme et fantaisie, portées par des regards d’auteurs forts, ces comédies se différencient aussi par leurs réalisations porteuses d’un point de vue affirmé.
Une saison 2 ne peut pas être une simple suite. Elle doit renouveler la série, tout en s’inscrivant dans la continuité. C’est ce que Clémence Dargent, Martin Douaire et Maxime Berthemy ont réussi à faire, en définissant de nouveaux enjeux pour les personnages.
Le temps du récit correspond au temps réel, et nous retrouvons nos personnages un an après les avoir quittés, pour un récit plus choral, dans la même tonalité poétique et décalée que celle de la première saison.
Antony Cordier s’est à nouveau investi sur toute la saison, en poussant encore un peu plus les curseurs de la comédie, de la tendresse, et des clins d’œil aux films qu’il aime.
Melvil Poupaud, Géraldine Pailhas, Daphné Patakia, Michel Vuillermoz, Quentin Dolmaire ou encore Olivier Broche ont repris leurs rôles avec brio, rejoints par Jonathan Lambert, Alice Taglioni et de nombreux autres comédiens
OVNI(s) se démarque par son genre hybride, tenant aussi bien de la dramédie familiale que du fantastique. Tout en explorant avec humour la part de fantastique qui est propre à la saison 2, les auteurs ont su trouver à nouveau cet équilibre juste entre rationnel et irrationnel, ce ton spécifique qui laisse planer le doute et amène le spectateur, happé par l’aventure que vivent les personnages, à se questionner :"et si c’était possible ?
Comme dopés par des délais visiblement particulièrement serrés, les jeunes scénaristes Clémence Dargent, Martin Douaire et Maxime Berthemy ont laissé libre cours à leur fantaisie, encore plus que dans le premier volet pour proposer une comédie familiale pétillante et poétique absolument unique
À la barre de la saison 1, le réalisateur Antony Cordier donne à la série une véritable signature visuelle, en parfaite adéquation avec l’atmosphère de la fin des années 70. Antony Cordier assure à nouveau la réalisation de l’ensemble de la saison 2.
Alors qu’une pluie de flamants roses était la porte d’entrée dans le monde d’OVNI(s) en saison 1, c’est une affaire de barbe à papa géante dans une centrale nucléaire qui lance nos personnages dans une nouvelle grande enquête.
C’est bien là une des marques de fabrique des auteurs d’OVNI(s) : réussir à faire surgir de la fantaisie cocasse dans les lieux les plus sérieux.
Trouver les brèches du réel dans lesquelles faire entrer la poésie et l’humour.
Et ainsi questionner notre rapport au monde, aux autres et même notre place dans le cosmos.
Un cosmos dans lequel on embarque d'autant plus facilement qu'on est bercés par la musique planante et mélancolique du compositeur Thylacine.
Diffusion en exclusivité sur CANAL+ à partir du 21 février 2022
les lundis à 21H00, 3 épisodes par soirée
et disponible en intégralité dès le premier jour sur myCANAL