ONLY THE RIVER FLOWS ; critique
Un commissariat qui emménage dans un cinéma désaffecté, le décor est planté.
Un chef utilisant la métaphore pongistique pour galvaniser son équipe, un jeune policier en attente d'avancement et de son premier enfant, des meurtres, des coupables potentiels et le doute qui profite au spectateur.
Enquête tortueuse et torturée pour ce long polar/poème, image rétro, lumière soignée et véritable leçon de cinéma digne de notre historique Nouvelle Vague.