" Cette histoire commence en 2012. Francis affronte TI-KONG une star des arts martiaux au sexe démesuré. C'est là qu'il rencontre Sonia, la femme de sa vie. Dix ans plus tard le monde a changé et TI-KONG est de retour. "

Mais à quoi s'attendre après une introduction pareille ? A tout et c'est exactement ce qui arrive !

Francis et Sonia à un carrefour de leur vie sentimental, un savant fou et un braquemard démesuré pour une comédie romantique, sexuelle et chirurgicale.

Une comédie masculinico-féministe, à moins que ce ne soit une comédie féministo-masculine, qui propose de sortir du génital pour aller vers le zénital et retrouver une relation harmonieuse et enfin tordre le cou et même la bite à tous les incel-masculinistes.

Scénario valise qui n'hésite pas à emprunter le champs lexical d'un nettoyage à sec pour parler de sexualité, une enquête policière ou il sera question de décabitation, d'une partie de gland prisonnier et d'une poursuite de chat-bite, pour un film très, très con ( c'est un compliment ) mais aussi et surtout très très drôle.

Réalisation inventive, mise en scène originale, dialogues lunaires et percutants avec une belle propension au grand n'importe quoi hilarant,  " Zénital " comme du Quentin DupieuX très, très potache, si, si c'est possible ! 

Un film de Jean Baptiste Saurel avec Vanessa Guide et Xavier Lacaille (en salle le 21 août)