[CRITIQUE] : LA RÉPARATION reste en surface
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Quelques heures avant de se voir attribué une troisième étoile, le chef mondialement connu Paskal Jankovski (Clovis Cornillac) disparaît sans laisser de trace, au même titre que son second Antoine (Julien de Saint-Jean).
Des circonstances plus qu’étranges, tandis que plus tôt on découvrait le désir de Jankovski de transmettre tout son héritage à sa fille Clara (Julia de Nunez), alors qu’elle prévoit de tout quitter pour profiter de son amour au grand jour avec Antoine.
32 ans après Indochine, Régis Wargnier est toujours le dernier cinéaste français sacré dans la catégorie internationale de l'Academy.
Contrairement à ce qu'on pourrait penser Regis Warnier est toujours en activité.
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Un peu plus de dix ans après son dernier film, Le Temps des Aveux, Régis Wargnier revient avec La Réparation, un drame mystérieux et très romanesque autour du monde de la cuisine.
Entre la Bretagne et l’île de Taïwan, un lien se tisse, ou plutôt se répare. Qu’il s’agisse des blessures d’une perte, d’une disparition, ou encore d’un héritage lourd à porter et perçu comme un fardeau, voilà tous les ingrédients a priori alléchants de ce film sur la cuisine mais malheureusement, Wargnier ne les transcende pas , la faute à une mise en scène très conventionnelle et un scénario qui a du mal à sortir des sentiers battus et dont le dénouement va finalement paraitre tres classique.
Dommage pour l'ambition sur le papier de l'histoire et dommage pour le casting qui tient la route, surtout Julia de Nunez, révélée en BB dans la série Bardot de France 2 qui joue ici la fille du chef et qui porte tout le film ou presque sur ses épaules.
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LA RÉPARATION de Régis Wargnier en salles le 16 avril