Festival Lumière 2025 / THE ASSASSIN. Hou Hsiao-hsien
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La chine médiévale durant la Dynastie Tang, une jeune nonne qui a été élevée pour être une tueuse implacable reçoit la mission d'assassiner son cousin Tian Ji'an, qui dirige la lointaine contrée de Weibo et qui menace le royaume. Le problème c'est que dans sa jeunesse, Yinniang, notre farouche et très habile surineuse et très dextre sabreuse fut promise au beau gouverneur, et même un peu amoureuse aussi. Mission ou sentiment à quoi devra-t-elle renoncer ?
Un objet cinématographie étonnant. Lumière, décors, paysages, costumes et acteurs : tout est beau.
Les combats vifs et secs ont la très bonne idée de ne pas envahir le scénario, mais, car il y a un mais, l'intrigue, pour qui n'est pas un sinologue médiéviste confirmé, est parfaitement obscure, voir absconse, et le spectateur lambda se demande parfois (souvent) qui sont les gentils et les méchants dans les combats et finalement pourquoi exactement tranchent ils aussi facilement dans le vif au lieu de discuter autour d'un verre de baijiu.
De somptueux plans fixes qui rappelle Barry Lindon, une narration lente et contemplative, un film à voir sur grand écran.
Merci Le festival Lumière...
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THE ASSASSIN, prix de la mise en scène au festival de Cannes édition 2015.
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