Critique Antebellum : n'est pas Get Out qui veut ..
Quel lien existe-t-il entre Eden, jeune femme esclave d’une plantation Sudiste durant la guerre de Sécession et Victoria une sociologue auteur d’un livre à succès sur le combat des femmes noire dans l’Amérique d’aujourd’hui ?
De l’horreur du travail dans les champs de cotton au dix-neuvième siècle rien ne nous sera épargné. Si il y a encore des personnes qui doutent que l’esclavage est un crime contre l’humanité, lisez d’autres auteurs que Margareth Mitchell. Et le pitch s’arrêtera là car twist il y a...
Quel dommage, “Antebellum” est bourré de bonnes intentions et à l’heure de l’Amérique de Trump, une Amérique où les suprématistes blancs se sentent protégés, le propos est on ne peut plus d’actualité.
Oui il existe une Amérique nostalgique d’avant la guerre de Sécession ( antebellum). Oui cette Amérique est dangereuse et Hollywood se doit de nous mettre en garde.
Mais le film de Gérard Bush et Christopher Renz, à la réalisation soignée et à la distribution efficace souffre d’un scénario brouillon qui patine quand même pas mal.
Dommage car l’idée d’un monde d’avant comme d’un monde perdu était une idée forte.